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- Titre : mes mots pansés
- Album : l'arme dans les mots
- Année : 2006
Paroles :
Emu Ces quelques notes lancées pour la mémo
Les mômes et les momies des blocks pensent ces mots
Sont jeter pour sommer, et ils dansent sur ma démo
Et ils crient révolution ! Révolution ! Révolution !
Ne connaissent que le mot qu'est elle sans solution
Car elles naissent des maux mais meurent sans évolution
Car elle n'est rien sans remède ou juste illusion
Illusion comme le bonheur a porté de main
D'une vie riche et célèbre d'un corps avorté demain
D'un sourire retracé de lèvres gonflées au venin
De soupir dévoilant les peines d'un système malsain
Que mes thèmes assassinent car victimes nous sommes et bourreaux
Grâce à leurs vagues libertines soumis derrière leurs barreaux
Insoumis disaient ils, Mai 68 et leurs héros
Nous ont enfantés sur les ruines de leurs idéaux
Et ils crient égalité fraternité laïcité la ou leurs lois sont citées
Oubliez leurs utopies car les flammes des cités
Rappellent que personne n'a le monopole de la vérité
Egaux mais différents regarde comme l'occident
Suça le sang de l'Afrique enchaîné mais sans fric déchet né
Sans perfusion pour irriguer ses veines et meurt assoiffé
Même dans la douleur t'étonne qu'un sourire soit fait
Parce que trop entendent sans écouter suivent sans comprendre
Qu'ils crétinisent la planète ou trop finissent par se pendre
Où l'ignorance reine épouse le vice pour se vendre
On retrouvera leurs joyaux ensevelis sous leurs cendres
REFRAIN
Et l'homme s'abandonne à son malheur compagnon de ses pleurs
Que sa femme broutonne chez son compagnon de 16 heures
Qu'il vit dans un monde ou construire est un leur
Qu'il n'est plus possible d'aimer que dans la douleur
Qu'un jeune fuit l'avenir le regard vide
S'évadant livide vidant l'éro ou l'acide
Assis les kho traversent un saison d'idée aride
Ainsi les maux bercent leurs nuits mêlant violence et suicide
Que trop de rappeurs brassent de l'air pour le mouvement
Le poing levé et un mollard paraissent émouvants
Parlent de putes et de mollah et paressent souvent
S'exécute juste pour surfer la vague de son temps
Juste des mots pour un siècle dément qui siée au démon
Assis est mon âme sur les berges du fleuve des mondes
Rame vers les sommets car l'eau est la plus pure en amont
Amants des mûres ce sonnet est l'espoir que nous semons
Car ils sèment le désespoir et s'aiment sans s'armer
Wesh leurs larmes est le résultat de leur philo désarmé
Laisse les drames aux autres et vivotent sans s'alarmer
Te passent le salam et votent l'extrême sans en parler
Et ils crient révolution ! Révolution ! Révolution !
Mais tous jouent une symphonie sans partition
La seule est celle qui nous grandi et prône l'évolution
Celle qui panse mes mots et ne trône que dans l'action
REFRAIN
angelinadu94, Posté le samedi 31 mars 2007 08:34
sisi g kifferrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr continu tu dechire